Quand le Boomerang rencontre le Glambot : l’animation vidéo qui a marqué Rock en Seine 2025

Le fes­ti­val Rock en Seine 2025 n’a pas seule­ment fait vibrer les foules avec sa pro­gram­ma­tion musi­cale éclec­tique. Cette année, un dis­po­si­tif inédit a atti­ré les regards autant que les smart­phones : une double ani­ma­tion vidéo ima­gi­née et déployée par l’agence Flashmat, réfé­rence fran­çaise dans le domaine des ani­ma­tions pho­to et vidéo événementielles.

Dans un conte­neur amé­na­gé au cœur du site, les fes­ti­va­liers pou­vaient décou­vrir deux expé­riences com­plé­men­taires : d’un côté un tobog­gan Boomerang GIF, de l’autre un Glambot digne des tapis rouges hol­ly­woo­diens. L’ensemble consti­tuait une expé­rience immer­sive et spec­ta­cu­laire, pen­sée pour géné­rer du conte­nu social enga­geant et mettre en avant les marques présentes.

L’expérience du Boomerang GIF : la descente en toboggan qui fait le buzz

Première étape : un tobog­gan ins­tal­lé sur une grande struc­ture éphé­mère. Les par­ti­ci­pants s’y lan­çaient pour être fil­més en pleine des­cente. La vidéo était immé­dia­te­ment trans­for­mée en Boomerang GIF, ce for­mat très popu­laire sur Instagram et TikTok qui joue sur l’aller-retour du mouvement.

Le résul­tat était à la fois drôle, dyna­mique et ultra-partageable. Chacun pou­vait repar­tir avec son conte­nu per­son­na­li­sé, direc­te­ment envoyé sur son smart­phone pour un par­tage ins­tan­ta­né. Cette ani­ma­tion, aus­si simple que ludique, illus­trait par­fai­te­ment la manière dont Flashmat par­vient à trans­for­mer un moment fugace en sou­ve­nir viral.

Le Glambot : la mise en scène cinématographique au service des festivaliers

À quelques mètres de là, une autre expé­rience atten­dait les curieux : le Glambot. Déjà uti­li­sé sur des céré­mo­nies pres­ti­gieuses comme les Oscars ou les Grammy Awards, cet équi­pe­ment robo­ti­sé offre des ralen­tis ultra-fluides, dignes d’un clip musical.

Chaque par­ti­ci­pant se voyait fil­mé avec des mou­ve­ments de camé­ra spec­ta­cu­laires, met­tant en valeur son style, son look ou son atti­tude. L’effet final était impres­sion­nant : une véri­table séquence de ciné­ma où le fes­ti­va­lier deve­nait la star.

Ce contraste entre la légè­re­té du Boomerang et l’intensité du Glambot créait une com­plé­men­ta­ri­té par­faite : deux manières dif­fé­rentes de se mettre en scène, mais tou­jours avec la même pro­messe de géné­rer du conte­nu unique et valorisant.

Pourquoi un tel dispositif séduit les marques ?

Au-delà du simple diver­tis­se­ment, ce type d’animation répond à un enjeu cru­cial pour les marques pré­sentes sur des fes­ti­vals comme Rock en Seine : l’activation de leur stand et la visi­bi­li­té sur les réseaux sociaux.

1. Attirer le public : un tobog­gan et un robot camé­ra cela intrigue. Les files d’attente devant l’installation en témoi­gnaient : les fes­ti­va­liers étaient natu­rel­le­ment atti­rés par l’expérience.
2. Prolonger l’engagement en ligne : chaque conte­nu créé n’était pas seule­ment un sou­ve­nir pour les par­ti­ci­pants, mais aus­si une oppor­tu­ni­té de dif­fu­sion virale. Les vidéos por­taient sub­ti­le­ment les codes visuels des marques par­te­naires, assu­rant une pré­sence natu­relle dans les sto­ries, Reels et TikToks.
3. Associer la marque à une émo­tion posi­tive : en offrant un moment fun et valo­ri­sant, l’expérience amé­liore l’image de la marque, qui devient celle qui fait vivre l’instant mémorable.
4. Mesurer l’impact : Flashmat pro­pose des outils de sui­vi et de sta­tis­tiques, per­met­tant aux annon­ceurs de quan­ti­fier le nombre de vidéos créées, par­ta­gées et vues. Un ROI mesu­rable, ce qui n’est pas tou­jours le cas avec les acti­va­tions évé­ne­men­tielles traditionnelles.

Flashmat, un savoir-faire reconnu

Si une telle ani­ma­tion a pu voir le jour, c’est grâce à l’expertise de Flashmat. L’agence, pion­nière en France sur les dis­po­si­tifs pho­to et vidéo évé­ne­men­tiels, a déjà accom­pa­gné de nom­breuses marques sur des fes­ti­vals, salons et lan­ce­ments de produits.

Son posi­tion­ne­ment repose sur trois piliers :

• La créa­ti­vi­té tech­no­lo­gique : pro­po­ser des for­mats ori­gi­naux (Glambot, mosaïques pho­to, réa­li­té aug­men­tée, etc.) qui dépassent le simple pho­to­booth.
• L’instantanéité : chaque conte­nu est pro­duit, trai­té et envoyé en quelques secondes, par­fai­te­ment adap­té aux usages sociaux.
• L’accompagnement stra­té­gique : Flashmat ne se contente pas de livrer un outil, mais conçoit une expé­rience ali­gnée avec les objec­tifs de com­mu­ni­ca­tion de la marque.

Avec le double dis­po­si­tif Boomerang + Glambot, l’agence a prou­vé une nou­velle fois sa capa­ci­té à cap­ter l’air du temps et à trans­for­mer un stand en véri­table aimant à publics et à conte­nus.

L’importance croissante du contenu interactif dans les festivals

L’exemple de Rock en Seine 2025 illustre une ten­dance de fond : les fes­ti­vals et grands évé­ne­ments ne sont plus seule­ment des lieux de consom­ma­tion cultu­relle, mais aus­si des espaces de créa­tion de conte­nu.

Les par­ti­ci­pants ne viennent pas uni­que­ment pour écou­ter de la musique, mais aus­si pour par­ta­ger leur expé­rience en ligne. Les marques qui réus­sissent à cap­ter cette dyna­mique béné­fi­cient d’une visi­bi­li­té orga­nique, géné­rée par les uti­li­sa­teurs eux-mêmes.

Dans un contexte où la publi­ci­té tra­di­tion­nelle est sou­vent per­çue comme intru­sive, offrir un moment fun, esthé­tique et par­ta­geable consti­tue une stra­té­gie gagnante. C’est le fameux prin­cipe du “brand content expé­rien­tiel” : la marque s’efface der­rière l’expérience, mais reste omni­pré­sente à tra­vers les conte­nus diffusés.

Vers de nouvelles formes d’activation

L’installation de Flashmat à Rock en Seine ouvre la voie à de nom­breuses pers­pec­tives. On peut ima­gi­ner à l’avenir des expé­riences encore plus immer­sives, com­bi­nant réa­li­té aug­men­tée, intel­li­gence arti­fi­cielle et cap­ta­tion 360°. L’objectif res­te­ra le même : sur­prendre, diver­tir et inci­ter au partage.

Pour les marques, l’enjeu est clair : il ne s’agit plus seule­ment d’avoir un stand visible, mais de créer un espace où l’on vit quelque chose d’exceptionnel. Dans un monde satu­ré d’images, ce sont les expé­riences authen­tiques et spec­ta­cu­laires qui par­viennent à émerger !